Objectifs

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Health is a human right

Pour la campagne de cette année et tout au long de l’année, l’OMS fera participer les responsables de l’élaboration des politiques et les populations afin de construire un monde plus juste et en meilleure santé, conformément au principe constitutionnel de l’OMS selon lequel « La possession du meilleur état de santé qu’il est capable d’atteindre constitue l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soient sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale ».

Dans le cadre de la campagne générale visant à instaurer la santé pour tous, l’OMS s’efforcera de placer l’équité en santé en bonne place dans le programme d’action mondial et sollicitera la volonté politique, de galvaniser le soutien des gouvernements et des donateurs et d’aider les pays à fixer les priorités en mettant en lumière les principaux obstacles à un accès équitable aux services de santé, en encourageant la prise de mesures pour surmonter ces obstacles et en fournissant des recommandations et des outils pour soutenir les actions multisectorielles visant à parvenir à des résultats sanitaires équitables.

La campagne pour la Journée mondiale de la Santé vise à :

sensibiliser aux inégalités en matière de santé et encourager la participation du public aux efforts de plaidoyer ;

souligner les impacts négatifs des inégalités sur la santé et le bien-être, et le développement social et économique, ainsi que les avantages que représente l’amélioration de la santé pour tous grâce à des services de santé de meilleure qualité et plus équitables ;

inciter les responsables de l’élaboration des politiques gouvernementaux à renforcer leur capacité à aborder l'équité en matière de santé, y compris dans le contexte actuel de la COVID-19, et à mieux reconstruire par le biais du plaidoyer et de l'échange de connaissances ;

encourager les partenariats à accélérer les progrès en vue d’une plus grande équité en santé dans le cadre des efforts globaux de reconstruction en faisant mieux intervenir les pouvoirs publics, l’OMS et d’autres institutions, la société civile, les universités, les associations professionnelles, les groupes de jeunes, les médias et d’autres parties prenantes.

© UN Photo/Eric Kanalstein