Intensifier la prévention et la maîtrise des maladies non transmissibles à Oman
 Une infirmière omanaise vérifie la tension artérielle d'un patientMalgré l’augmentation des taux de maladies non transmissibles sur son territoire, Oman a accompli des avancées dans la prestation des soins de santé primaires, lui permettant ainsi d’élargir son expérience en matière de promotion de la santé et de prévention des maladies. Le pays jouit également d’une longue tradition de collaboration multisectorielle dans le domaine de la santé. Lors de son discours liminaire à l’occasion de la Conférence internationale d’Oman sur la vision de la santé pour l’horizon 2050 : des soins de qualité pour une santé durable, tenue récemment à Mascate, le Dr Margareth Chan, Directeur général de l’OMS, a décrit ces avancées comme un atout précieux pour la prévention des maladies non transmissibles car la lutte contre leurs causes sous-jacentes ne relève pas uniquement du secteur de la santé.
Une infirmière omanaise vérifie la tension artérielle d'un patientMalgré l’augmentation des taux de maladies non transmissibles sur son territoire, Oman a accompli des avancées dans la prestation des soins de santé primaires, lui permettant ainsi d’élargir son expérience en matière de promotion de la santé et de prévention des maladies. Le pays jouit également d’une longue tradition de collaboration multisectorielle dans le domaine de la santé. Lors de son discours liminaire à l’occasion de la Conférence internationale d’Oman sur la vision de la santé pour l’horizon 2050 : des soins de qualité pour une santé durable, tenue récemment à Mascate, le Dr Margareth Chan, Directeur général de l’OMS, a décrit ces avancées comme un atout précieux pour la prévention des maladies non transmissibles car la lutte contre leurs causes sous-jacentes ne relève pas uniquement du secteur de la santé.
Halte à l’ingérence de l’industrie du tabac dans la lutte contre le tabagisme
 Le tabac est le seul produit de consommation légal qui tue ses utilisateurs lorsqu’ils suivent exactement les indications du fabricant. Le tabagisme tue près de 6 millions de personnes chaque année, parmi lesquelles 600 000 ont été exposées au tabagisme passif. Chaque année, le 31 mai, l’OMS célèbre la Journée mondiale sans tabac pour attirer l’attention du monde entier sur la forte prévalence du tabagisme et ses effets négatifs sur la santé des fumeurs et des non-fumeurs.
Le tabac est le seul produit de consommation légal qui tue ses utilisateurs lorsqu’ils suivent exactement les indications du fabricant. Le tabagisme tue près de 6 millions de personnes chaque année, parmi lesquelles 600 000 ont été exposées au tabagisme passif. Chaque année, le 31 mai, l’OMS célèbre la Journée mondiale sans tabac pour attirer l’attention du monde entier sur la forte prévalence du tabagisme et ses effets négatifs sur la santé des fumeurs et des non-fumeurs.
Cette année, la campagne a pour thème « l’interférence de l’industrie du tabac ». Elle vise à dévoiler les actions de cette industrie, qui tente de saper les efforts des organisations internationales et des gouvernements pour réduire le tabagisme. La campagne souligne également les nombreux moyens innovants utilisés pour contrecarrer les tactiques visant à miner les politiques de lutte antitabac.
Le Soudan du Sud, nouvel État Membre de l'OMS
 Crédit photo : Pauline Ajello/OMS Le Soudan du Sud est devenu le plus récent et le plus jeune État Membre de l’OMS après son indépendance, le 9 juillet 2011. L’OMS soutient le gouvernement et les autorités sanitaires aux niveaux central et local pour renforcer les systèmes de santé, résoudre les problèmes de santé publique et promouvoir la recherche dans ce domaine.
Crédit photo : Pauline Ajello/OMS Le Soudan du Sud est devenu le plus récent et le plus jeune État Membre de l’OMS après son indépendance, le 9 juillet 2011. L’OMS soutient le gouvernement et les autorités sanitaires aux niveaux central et local pour renforcer les systèmes de santé, résoudre les problèmes de santé publique et promouvoir la recherche dans ce domaine.
« Le soutien de l’OMS dans ce pays est immense, affirme Yona Kenyi, fonctionnaire d'État chargé de la surveillance des maladies. Nous avons de nombreux réfugiés de retour du nord pays ; de plus, des conflits intertribaux et des guerres ont lieu dans les États frontaliers. Sans le soutien de l’OMS, il aurait été impossible de venir en aide aux millions d’adultes et d’enfants de ce pays qui ont besoin de services de santé, même si j’admets qu’il reste beaucoup à faire. »
 
	    
	  	   
  
  
  
  
  
  
      