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Arrivée à Djibouti des premiers vaccins contre la COVID-19

Djibouti est le deuxième pays de la Région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord à recevoir des vaccins contre la COVID-19 par le biais du mécanisme COVAX

First COVID-19 vaccines arrive in Djibouti

Djibouti, 6 mars 2021 – Djibouti est le deuxième pays de la Région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord à recevoir des vaccins contre la COVID-19, suite à l’arrivée d'une première cargaison du vaccin AstraZeneca/Serum Institute of India (SII) à l'aéroport international de Djibouti. Les vaccins ont été livrés avec l’appui de l’UNICEF par le biais du mécanisme COVAX, une coalition codirigée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), Gavi, l’Alliance du vaccin et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies, qui assure une distribution juste et équitable des vaccins contre la COVID-19 aux pays, sans tenir compte de leur niveau de revenu.

Cette livraison fait suite à l’arrivée d’une quantité de seringues, faisant partie d'une réserve mondiale financée et soutenue par Gavi, que l’UNICEF a distribuées au nom du mécanisme COVAX le samedi 27 février 2021. L’OMS a collaboré avec les autorités nationales pour définir une stratégie de vaccination comprenant la formation des vaccinateurs, la garantie de la sécurité des vaccins et la surveillance des effets indésirables.

Cette première livraison de vaccins permettra de soutenir la vaccination des agents de santé, des personnes de plus de 50 ans et des personnes présentant des comorbidités.

Grâce à cette contribution et à l'engagement de Djibouti à poursuivre ses efforts pour enrayer et mettre fin à la pandémie, le pays vise à assurer la continuité des moyens à disposition et l'accès aux services essentiels.

S.E. Monsieur Mohamed Warsama Dirieh, Ministre de la Santé de Djibouti, a salué les efforts déployés par tous les partenaires qui ont permis à Djibouti de recevoir des vaccins contre la COVID-19 par l'intermédiaire du dispositif COVAX.

« Les vaccins constituent un élément essentiel pour lutter contre la propagation du virus et pour notre éventuel retour à la vie normale » a déclaré S.E. le Ministre. Il a invité instamment les personnes remplissant les conditions requises à s’inscrire et à se faire vacciner dès que possible.

À l’échelle mondiale, Djibouti a pu endiguer la propagation du virus dans le pays grâce à des mesures préventives. Le pays compte 6102 personnes diagnostiquées positives pour la COVID-19 et 63 décès dus à l'infection par ce virus depuis l'apparition du premier cas à Djibouti le 18 mars 2020.

« Aujourd’hui marque une nouvelle phase dans la lutte contre la COVID-19 à Djibouti, grâce au mécanisme COVAX, à la contribution de Gavi et à l’engagement des autorités djiboutiennes. Avec l’ensemble des partenaires, nous attendons avec impatience le début de la vaccination des personnes éligibles afin d'assurer une protection maximale de la population et de mettre fin à cette pandémie et de permettre le retour à une vie normale » a déclaré Melva Johnson, Représentante de l'UNICEF à Djibouti.

« L'arrivée de ces vaccins marque une nouvelle phase dans la riposte en cours contre la COVID-19 à Djibouti. Plus le nombre de personnes vaccinées sera élevé, plus les vaccins seront efficaces pour ralentir la propagation du virus, faire baisser les taux d'infection et protéger l'ensemble de la société. Mais nous devons toujours nous rappeler que les vaccins ne sont efficaces que lorsqu'ils sont associés à toutes les autres stratégies de santé publique » a déclaré le Dr Mondher Letaief, Représentant de l'OMS à Djibouti par intérim.

« Il est plus que réjouissant de savoir que les vaccins livrés par le biais du mécanisme COVAX atterrissent à Djibouti. Je tiens à remercier tous les Djiboutiens et partenaires qui ont œuvré sans relâche pour franchir cette première étape. Ce n'est que le début ; nous nous engageons à fournir des vaccins à tous ceux qui en ont besoin » a affirmé Ricard Lacort, Responsable principal de pays pour Gavi, l'Alliance du Vaccin, en charge de l'Afghanistan et de Djibouti.

Avec l’appui de Gavi, l’OMS et l’UNICEF vont collaborer avec le Gouvernement de Djibouti pour lancer et mener à bien la campagne nationale de vaccination afin d’atteindre toutes les personnes remplissant les conditions voulues.

Note aux rédactions :

COVAX veille à ce que tous les pays participant au mécanisme (actuellement 190, dont Djibouti) aient un accès équitable à au moins deux milliards de doses de vaccin contre la COVID-19 d'ici fin 2021. Les livraisons supplémentaires de vaccins pour Djibouti devraient arriver au deuxième trimestre 2021.

Pour davantage d’informations, veuillez contacter :

Inas Hamam
Chargée de communication
OMS
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

L’OMS lance une nouvelle feuille de route pour prévenir, combattre, éliminer et éradiquer 20 maladies tropicales négligées à l’horizon 2030

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Janvier 2021-- L’Organisation mondiale de la Santé et ses partenaires procéderont au lancement d’une nouvelle feuille de route sur les maladies tropicales négligées (MTN) pour la période 2021-2030, le jeudi 28 janvier 2021, de 14 à 16 heures, avec la participation de chefs d’État, du Directeur général de l’OMS, du Directeur régional de l’OMS pour la Méditerranée orientale, le Dr Ahmed Al-Mandhari, et d’autres directeurs régionaux de l’OMS, de représentants des ministères de la santé, de partenaires, de représentants de l’OMS et de membres des médias.

La nouvelle feuille de route intitulée « Mettre fin à l’inaction pour réaliser les objectifs de développement durable : feuille de route pour les maladies tropicales négligées 2021-2030 » est un document stratégique de haut niveau et un outil de plaidoyer qui définit les cibles mondiales pour 2030 ainsi que les étapes à franchir pour prévenir, contrôler, éliminer et éradiquer un ensemble hétérogène de 20 maladies et groupes de maladies.

Les maladies tropicales négligées sont mortelles et souvent cruellement invalidantes. Elles touchent les populations les plus pauvres qui vivent dans les conditions les plus difficiles. Dans la Région de la Méditerranée orientale, plus de 82 millions de personnes ont besoin d'interventions contre les maladies tropicales négligées. La Région supporte la charge mondiale la plus élevée de leishmaniose cutanée, qui continue de défigurer les individus, causant souvent la stigmatisation qui conduit à l’exclusion sociale. Le Soudan est le foyer du mycétome qui, s’il n’est pas détecté et pris en charge rapidement, peut causer une déformation importante des membres provoquant une souffrance intense, une perte de fonction et une altération de la capacité à travailler et à gagner sa vie ; dans les cas avancés, il peut entraîner l’amputation et le décès. Au-delà de ces exemples, les 22 pays sont tous touchés par une ou plusieurs maladies tropicales négligées, sous la forme de cas locaux ou importés.

Le Dr Al-Mandhari a réitéré l'importance de travailler ensemble, de coordonner les efforts et d'accroître les investissements pour mettre fin au fardeau que représentent les maladies tropicales négligées et relever les défis, en particulier dans le contexte de la pandémie de COVID-19 et de ses conséquences. « Plus que jamais, nous devons mettre fin au fardeau des maladies tropicales négligées et alléger le fardeau humain et économique qu'elles imposent aux communautés les plus pauvres de la Région qui souffrent également des conflits et des troubles civils actuels », a déclaré le Dr Al-Mandhari, « C'est une partie essentielle des efforts que nous déployons pour réaliser la Santé pour tous et par tous et progresser vers les cibles des objectifs de développement durable (ODD). »

La nouvelle feuille de route permettra de pérenniser les progrès substantiels accomplis dans la réduction de la charge des maladies tropicales négligées dans le cadre de la première feuille de route de l’OMS concernant ces maladies (2012-2020). Elle couvre 20 maladies et aidera à accélérer les progrès sur la voie de la réalisation des ODD, et en particulier de l’ODD 3.3 et des cibles mondiales. 

Pour la Région de la Méditerranée orientale, cela veut dire à l’horizon 2030 :

  • réduire le nombre de personnes ayant besoin d'un traitement contre les maladies tropicales négligées en le faisant passer de 82 millions à 8,2 millions (90 %) ;
  • éliminer au moins une maladie tropicale négligée au Royaume d’Arabie saoudite, en Afghanistan, en Égypte, en Iraq, au Maroc, au Pakistan, en Somalie, au Soudan, en Tunisie et au Yémen.
  • éradiquer la maladie du ver de Guinée et le pian.

La mise au point de la nouvelle feuille de route offre aux pays l’occasion de partager leurs données d’expérience, notamment sur les ripostes apportées par les pays pour réduire la charge des maladies tropicales négligées durant la pandémie de COVID-19. Elle mettra l’accent sur la façon dont les interventions intersectorielles intégrées, des investissements judicieux et la participation communautaire peuvent renforcer et soutenir les systèmes de santé afin de fournir des interventions par l’intermédiaire des infrastructures existantes.

Relever ensemble des défis exceptionnels

Regional director's end of year message

Message de fin d’année du Dr Ahmed Al-Mandhari, Directeur régional de l’OMS pour la Méditerranée orientale

28 décembre 2020 - Alors que 2020 touche à sa fin, je tiens à remercier tous les pays, partenaires et collègues de l'OMS dans la Région de la Méditerranée orientale pour l'engagement et le courage dont ils ont fait preuve au cours de l'année qui vient à son terme. 

Ce fut une période exceptionnellement difficile pour nous tous. La pandémie de COVID-19 a fait des ravages. À ce jour, plus de 117 000 personnes ont perdu la vie à cause de la COVID rien que dans notre Région, dont de nombreux agents de santé vaillants. Nous n'oublierons jamais leur sacrifice. 

La pandémie a dévasté les systèmes de santé, les économies et les communautés. La grave perturbation des services de santé essentiels tels que la vaccination se fera sentir pendant de nombreuses années. 

Mais l’on peut apercevoir maintenant de la lumière au bout du tunnel. Grâce aux efforts concertés des scientifiques, des bailleurs de fonds et des responsables politiques du monde entier, des vaccins sont en cours de mise au point à une vitesse sans précédent. 

Cependant, il faudra davantage de temps et d'efforts pour déployer ces vaccins au cours de 2021, et nous ne pouvons pas nous reposer entre-temps. Nous devons continuer à nous efforcer de prévenir et de maîtriser la COVID-19, en appliquant toutes les mesures de prévention nécessaires, à savoir le port de masques, les règles d’hygiène, la distanciation sociale, le fait d’éviter les rassemblements de masse, surtout pendant les vacances ; et nous devons également maintenir les services de santé essentiels. 

Et nous devons aller plus loin. La pandémie a mis en lumière de graves failles de nos systèmes et services de santé. Il nous faut investir dans le renforcement de ces systèmes et services afin d’être mieux préparés la prochaine fois. 

Le partenariat pour la santé et notre vision de la santé pour tous et par tous sont plus importants que jamais. La pandémie a été un moment de solidarité et d'action, et malgré les défis, nous avons travaillé sans relâche avec nos pays et nos partenaires tout au long de l'année pour faire progresser nos quatre priorités stratégiques. 

Élargir la couverture sanitaire universelle 

Universal health coverage

La couverture sanitaire universelle constitue un principe directeur dans toutes nos activités techniques. 

La pandémie a compromis l'accès aux soins de santé, mais a également stimulé l'innovation qui a aidé à maintenir ou restaurer les services de santé essentiels. 

Avec plusieurs partenaires, nous avons créé un cours de formation en ligne d’avant-garde pour donner aux personnels des soins de santé primaires les compétences et les connaissances dont ils ont besoin à l’ère de la COVID. 

Nous avons mis au point d’autres ressources en ligne, telles qu’une plateforme de soutien en santé mentale, et nous avons eu le plaisir d’encourager et de documenter d’autres exemples d’innovation numérique pour la santé dans bon nombre de nos pays. 

Nous avons également travaillé avec les pays sur le terrain pour améliorer la prestation de services pour la lutte contre les maladies transmissibles et non transmissibles grâce à de nouvelles approches telles que les visites à domicile, la participation communautaire et des campagnes de vaccination multi-antigènes intégrées. Nos efforts en vue de renforcer les systèmes de vaccination dans les pays seront décisifs lorsqu’il s’agira d’introduire les vaccins. 

Nous comptons nous appuyer sur ces expériences pour transformer la pandémie en une occasion d'amélioration à long terme. 

Interventions dans les situations d’urgence 

Addressing health emergencies

La Région de la Méditerranée orientale est confrontée à des situations d'urgence sanitaire d'une ampleur sans précédent, et la pandémie de COVID-19 a posé une terrible menace pour des dizaines de millions de personnes déplacées extrêmement vulnérables dans la Région. 

Je suis fier de la manière dont l’OMS, nos pays et nos partenaires ont relevé ce défi. Nous avons rapidement établi un plan stratégique et des structures pour guider les efforts de préparation et de riposte dans la Région. Le groupe de crise régional sur la COVID-19 a rassemblé 35 partenaires techniques et opérationnels, et la riposte est soutenue par 28 grands donateurs. 

Lors de notre session virtuelle du Comité régional en octobre, nous avons pu mettre en lumière les actions réussies tant au niveau national que régional. 

Pendant ce temps, les activités visant à prévenir et gérer d’autres situations d’urgence, et à en atténuer les effets, se sont poursuivies. L’éradication de la poliomyélite est une priorité absolue, d’autant plus que la Méditerranée orientale est désormais la seule Région OMS où la poliomyélite reste endémique. 

Le Comité régional a approuvé une résolution visant à galvaniser l’action contre la poliomyélite, notamment en créant un sous-comité régional de haut niveau chargé de coordonner la lutte contre cette. Nous espérons intensifier nos efforts en 2021. 

Promotion de la santé des populations 

Promoting healthier population

Inévitablement, la pandémie de COVID-19 a perturbé notre action actuelle de promotion de la santé, mais elle a également démontré la valeur de cette action. 

La lutte contre la pandémie de COVID-19 exige un fort engagement communautaire et une approche pangouvernementale de l’élaboration des politiques de santé – exactement le genre de choses que l’OMS préconise depuis des années pour promouvoir la santé. 

Nous avons pu constater les  réels bénéfices de ces approches en 2020. Là où nous avons mis en œuvre le programme des Villes-santé, nous avons pu observer une réponse beaucoup plus coordonnée à la pandémie. 

La pandémie a également donné un coup de pouce bienvenu à la lutte antitabac, avec une interdiction généralisée du tabagisme par pipe à eau dans les lieux publics et une réduction significative de la pollution atmosphérique. 

Nous poursuivrons sur notre lancée l’année prochaine. Le rapport final de la Commission régionale sur les déterminants sociaux de la santé, qui doit être publié en mars 2021, devrait devenir une référence historique dans les efforts visant à lutter contre les inégalités fondamentales qui sont à la base de tant de mauvaise santé dans la Région. 

Apporter des changements transformateurs à l’OMS 

Promoting healthier population

Ces dernières années, nous avons restructuré les bureaux de pays de l’OMS et le Bureau régional afin d’aligner plus étroitement les ressources disponibles sur les priorités de chaque pays et de maximiser notre impact. 

Ces travaux ont porté leurs fruits en 2020. Le personnel de différentes équipes et de différents bureaux de l’Organisation a travaillé sans complexe comme « une seule et même OMS » afin de combattre la pandémie. 

Dans le cadre de notre Programme de transformation, nous avons créé, au Bureau régional, un nouveau département Communication, Mobilisation des ressources et Partenariat afin de rationaliser ces trois fonctions essentielles. 

En conséquence, nous étions bien placés pour lutter contre l’infodémie liée à la COVID-19 par le biais de communications et d’un engagement communautaire efficaces, et nous avons levé des fonds à grande échelle pour soutenir la riposte à la pandémie dans la Région – même si davantage est encore nécessaire. Dans les mois à venir, nous œuvrerons sans relâche pour tirer parti de cette expérience et mettre sur pied un mouvement de collaboration plus solide intitulé « Investissement pour la santé » ainsi qu’un nouveau programme de partenariat régional. 

Le lancement d’une nouvelle Alliance régionale pour la santé il y a quelques semaines à peine a constitué une avancée historique dans cette stratégie. Hébergée par l’OMS, l’Alliance regroupe 12 organismes multilatéraux œuvrant pour la santé, le développement et l’aide humanitaire afin d’accélérer les progrès vers la réalisation des objectifs de développement durable liés à la santé dans la Région. 

Cette perspective d'une collaboration plus étroite et plus approfondie constitue une note positive très appréciée pour la fin de l'année. Nous pouvons accomplir tellement de choses lorsque nous travaillons tous ensemble. 

Il est temps d’honorer nos agents de santé 

WHO covid-19 mission to Islamic Republic of Iran

Pour conclure, je tiens une fois de plus à rendre hommage aux agents de santé, dont les efforts et les sacrifices héroïques figurent parmi les souvenirs profonds que nous gardons de la riposte à la COVID-19.  

La pandémie a mis en lumière les énormes défis et risques auxquels sont confrontés les agents de santé, notamment l'infection, la violence, la stigmatisation, la pression psychologique, la maladie et même la mort. 

Reconnaissant le dévouement et le sacrifice de millions d’agents de santé et de soignants de première ligne, l’Assemblée mondiale de la Santé a fait de 2021 Année internationale des agents de santé et des soignants. Le moment est venu d’investir dans nos « Héros pour la santé ». 

Je vous souhaite à tous des vacances paisibles et réconfortantes. J'espère que vous aurez l'occasion de vous détendre avec vos proches, tout en restant en sécurité, et de commencer 2021 en étant reposés et revigorés. Nous avons encore une année chargée devant nous alors que nous travaillons ensemble pour atteindre notre objectif : « La Santé pour tous et par tous  »

Nouvelle souche de COVID-19 : Que savons-nous à ce jour ?

Message enregistré

22 décembre 2020 - D’après les informations notifiées par les autorités nationales du Royaume-Uni, la nouvelle souche ou variante montre une plus grande transmissibilité. Des recherches sont actuellement en cours pour savoir à quelle vitesse elle peut se propager et si la transmissibilité accrue se rapporte uniquement à la nouvelle variante elle-même ou s'il existe d'autres facteurs interconnectés. Les informations initiales n’indiquent aucune évolution de la sévérité de la maladie. Des études sont en cours pour comparer les patients porteurs de cette variante à d’autres patients COVID-19.

Il peut y avoir un changement dans la transmissibilité de cette variante, ainsi que des performances réduites des tests diagnostiques qui utilisent la cible du gène S. Néanmoins, à ce jour, il n’existe aucune preuve d’une modification de l’efficacité vaccinale ou de la réponse des anticorps.

Il importe de savoir que tous les virus, y compris le virus responsable de la COVID-19, évoluent dans le temps. À ce jour, des centaines de variantes de ce virus ont été identifiées dans le monde et nous les suivons de près. Jusqu’à présent, la plupart des modifications de ce virus n’ont eu que peu ou pas d’impact sur le mode de transmission ou sur la sévérité de la maladie qu’il provoque.

La raison pour laquelle nous sommes particulièrement intéressés par cette variante est qu'elle comporte plusieurs combinaisons de mutations, et il existe des signes préliminaires indiquant qu’elle pourrait se propager plus facilement entre les personnes. L’OMS conseille de mener d’autres études virologiques pour comprendre les mutations spécifiques décrites par le Royaume-Uni.

Nous sommes en contact étroit avec les autorités sanitaires du Royaume-Uni. Elles continueront à nous tenir informés des résultats des enquêtes et des recherches qu'elles mènent. Nous informerons à notre tour les États Membres et le public chaque fois que nous disposerons de plus d'informations et d'une image plus claire des caractéristiques de cette variante.

Nous soulignons le fait que nous en tiendrons à la science et aux preuves scientifiques pour comprendre l’impact de cette nouvelle variante. En attendant, nous conseillons à chacun de se conformer pleinement aux mesures de prévention et aux procédures de santé publique et de suivre les directives des autorités nationales.


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