Baisse de la tension artérielle et du rythme cardiaque.
Les taux de nicotine dans la circulation sanguine chutent pour atteindre 6,25 % des pics quotidiens normaux (une baisse de 93,25 %).
- Les taux de monoxyde de carbone chutent pour revenir à la normale.
- Les taux d'oxygène dans la circulation sanguine augmentent pour revenir à la normale.
La nicotine dans la circulation sanguine a alors disparu.
- Les terminaisons nerveuses recommencent à se développer.
- L'odorat et le goût commencent à s'améliorer.
- Les alvéoles (tubes bronchiques des poumons menant aux poches d'air) commencent à se détendre.
- La respiration est plus facile et les poumons fonctionnent mieux.
- Tout l’organisme est 100 % sans nicotine.
- Plus de 90 % de tous les métabolites de la nicotine (les produits chimiques dans lesquels elle se décompose) sont éliminés dans l'urine.
La circulation sanguine dans les gencives et les dents est maintenant similaire à celle des non fumeurs.
La colère, l'anxiété, les difficultés de concentration, l'impatience, l'insomnie, l'agitation et la dépression liées à l'arrêt du tabac prennent fin.
- La circulation sanguine s'améliore.
- La marche devient plus facile.
- La fonction pulmonaire s'améliore (jusqu'à 30 %).
- L'apparence de la peau s'améliore au fur et à mesure qu'elle perd sa pâleur grisâtre et devient moins ridée.
- La toux chronique disparaît.
- Les cils repoussent dans les poumons pour mieux évacuer le mucus, nettoyer les poumons et réduire l'infection.
- La toux, la congestion des sinus, la fatigue et l'essoufflement diminuent.
- Les rhumes, les maux de gorge et les maux de tête diminuent.
- Les niveaux globaux d'énergie et de concentration augmentent.
- Le risque de coronaropathie est deux fois moindre que celui d'un fumeur.
- Le risque de décès prématuré par crise cardiaque diminue.
Le risque d'AVC devient le même que pour les non fumeurs.
- Le risque de décès par cancer du poumon diminue de près de moitié pour un fumeur moyen (un paquet par jour).
- Le risque de cancer de la bouche, de la gorge, de l'œsophage, de la vessie, des reins et du pancréas diminue.
Le risque de coronaropathie est égal à celui des non fumeurs