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Photo gallery: demonstration of sustainable alternatives to DDT

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Four countries in the Eastern Mediterranean Region have successfully demonstrated viable, sustainable and cost effective alternatives to DDT use.

Sudan

Sudan has investigated the impact of insecticide resistance on the effectiveness of malaria vector control, the burden of malaria, and determined the effects of different insecticide-based vector control intervention strategies, such as indoor residual spraying (IRS) and combined IRS and long-lasting insecticide-treated bednets (LLINs) on the development and management of insecticide resistance. 

Four study sites - El-Hoosh, Hag Abdullah, Galabat and New Halfain - were chosen across the three states of Kassala, Sennar and Al Qadarif.

Morocco

Morocco explored the feasibility and effectiveness of alternative vector control methods as a part of the integrated vector management (IVM) approach to reduce transmission of anthroponotic cutaneous leishmaniasis.

The effectiveness of IRS combined (disease incidence and sandfly density) with environmental management was compared  to environmental management alone.

The effectiveness of LLINs (disease incidence and sandfly density) combined with environmental management was compared  to environmental management alone.

Islamic Republic of Iran

The project in Iran aims to investigate the efficacy of covering breeding places with natural materials (mat made of leaves), compared to synthetic materials (man-made materials, tile). The results will be compared to regular larviciding activities by Bacillus thuringiensi. The cost-effective analysis, sustainability of interventions community acceptance and participation will be assessed.

Yemen

Yemen will compare the efficacy of LLINs alone and the combination of LLINs and IRS on the malaria burden measured by malaria prevalence and passive case detection at health facilities. The project also assesses the impact (insecticide resistance) of the two study arms on the malaria vectors and monitors the malaria vector behaviour between the two interventions.

Egypt

Egypt, Jordan and Djibouti strengthened their national capacity on IVM by re-establishing a statutory IVM steering committee, conducted comprehensive vector surveillance/mapping activities and monitored insecticide resistance.

Vector surveillance and insecticide resistance monitoring was conducted in sentinel sites in Qena, Sharqiya, Kafr El Sheikh, North Sinai, Suez, El Fayoum, Alexandria and Damietta. 

Activités des pays

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Pays au stade de lutte contre le paludisme

Dans les pays au stade de lutte contre le paludisme, cette maladie est considérée comme un problème de santé majeur. Le caractère inadéquat des ressources humaines et des infrastructures disponibles, voire leur absence, constitue le principal obstacle au développement, à la mise en œuvre et à la pérennité des interventions de lutte antipaludique. Les activités de lutte antipaludiques devraient être mises en œuvre en synergie avec d’autres importants programmes sanitaires, notamment ceux qui concernent les maladies à transmission vectorielle, la santé de la mère et de l’enfant, la vaccination systématique, le VIH/sida et la tuberculose. Parvenir à un accès universel à  des mesures préventives efficaces, à un diagnostic et à un traitement fiables du paludisme exige de renforcer les mécanismes de coordination avec tous les partenaires, notamment les organisations non gouvernementales, la communauté et le secteur privé et de mettre au point un plan stratégique national performant.

Afghanistan | Djibouti | Pakistan | Somalie | Soudan | Soudan du Sud | Yémen

Pays au stade de l’élimination

Dans les pays au stade de l’élimination du paludisme, la stratégie d’élimination de cette maladie est un exercice d’une durée limitée, qui doit s’effectuer en plusieurs phases. La première phase consistera à mettre en place des activités destinées à renforcer le programme de lutte antipaludique, c’est-à-dire à se doter d’ un personnelayant bénéficié d’une formation ou d’un recyclage adéquat, avec les ressources et la logistique nécessaires pour poser les bases solides et durables d’une élimination du paludisme. La seconde phase verra la mise en œuvre d’interventions antipaludiques choisies dans des zones ciblées  du pays, en collaboration avec les pays limitrophes.

Arabie saoudite | République islamique d'Iran

Pays exempts de paludisme

Le statut des pays exempts de paludisme sera maintenu au moyen d’un réseau bien développé de services de santé de base dans tous les pays de ce groupe. La surveillance du paludisme dans le cadre du système général de surveillance est axée sur la notification spatio-temporelle des cas de paludisme et des décès imputables à cette maladie. L’accès gratuit aux services de santé et le dépistage sélectif chez certaines populations à haut risque situées dans les zones à haut risque sont d’une importance capitale. Afin de pouvoir faire face à la menace des cas importés, les personnels des organismes de soins de santé gouvernementaux et privés devront être formés et reconvertis dans le domaine du diagnostic, de la prise en charge clinique et de la chimioprophylaxie du paludisme. Dans le cadre d’une approche globale intégrant la lutte contre d’autres maladies à transmission vectorielle, le personnel des services spécialisés devrait être formé à la prévention du paludisme à travers la lutte antivectorielle ciblée et la gestion de l’environnement. Il est tout aussi important de poursuivre la sensibilisation des membres de la communauté, notamment des personnes voyageant régulièrement dans des pays où le paludisme est endémique.

Bahreïn | Égypte | Émirats arabes unis | Iraq | Jordanie | Koweït | Liban| Libye | Maroc | Oman | Qatar | République arabe syrienne | Territoire palestinien occupé | Tunisie